Auteur/autrice : Rachel Otnip

Ce confinement m’a ramené à une de mes grandes passions : dormir ! Et oui, si dormir est synonyme de paresse pour beaucoup, pour moi, c’est un réel plaisir, limite un loisir.       La raison est simple, je m’éclate dans mes rêves. Je vis une autre vie. J’y retrouve des amis, des connaissances, même parfois des gens que je n’ai pas revu depuis le collège (secondaire). C’est étrange. Ils s’invitent comme ça, dans mon sommeil. Parfois c’est drôle. Parfois c’est étrange. Mais je vis toujours des aventures. Et oui,…

« Moi avant, moi après un mois de confinement… » C’est à ce moment là, à cet instant précis, que la grossophobie commence ou plutôt perdure. Pendant que l’on compte nos morts, certains comptent les kilos sur la balance. C’est d’un grotesque ! Alors qu’il manque des places dans les services de réanimation dans les hôpitaux, certain-e-s se la joue apprenti-e-s diététicien-ne-s . Alors qu’il manque des masques, et que les uns et les autres se les piquent (américains, français…) les êtres humains regardent les charriots de courses des voisins. Alors que…

Pour la journée internationale des droits des femmes, nous avons eu l’idée originale d’inviter pour notre second épisode de ASKIP, Neda Topaloski, activiste FEMEN pour parler de « l’idéal féminin trop étroit ».   Une heure et quart de discussion avec la jeune femme, activiste pour FEMEN quand elle n’écrit pas de poésie.  

Quelle drôle d’idée de vouloir libérer les tampons et les serviettes hygiéniques. Pas si ridicule que cela! En 2019, tout le monde sait que les femmes ont leurs règles une fois par mois, les cours de sciences ont fait leur travail dans notre éducation, mais malheureusement pas dans les mentalités et les moeurs.   Manila Luzon, candidate de l’émission de télé américaine RuPaul’s Drag Race   Combien de femmes continuent à cacher leurs tampons et leurs serviettes dans leurs manches de pull, ou dans leurs poches de jeans ou encore…

Wesh les caribous, voici la planche numéro 10 de WESH! CARIBOU. Cette fois-ci Eldiablo nous raconte la fois ou il a voulu faire de l’art avec des cônes oranges, vous savez ces cônes de signalisation qui vont commencer à fleurir dans tout Montréal dès l’arrivée du printemps. Et bien figurez-vous que Boris, a créé un « Inukshuk » urbain, en hommage à l’art inuit, mais avec des cônes. Il a intitulé cette oeuvre un « Urbanukshuk »… voici comment il en a eu l’idée. Bonne lecture !